Pourquoi nous soutenir ?

Le festival est porté par l’association loi 1901 « La Presqu’île de l’imaginaire », à but non-lucratif.

Le modèle économique du festival repose sur des ressources diverses : implication de nombreux bénévoles professionnels et amateurs, partenariats ou mécénats d’entreprises (en nature et en numéraire), dons privés, billetterie et soutiens institutionnels.

Faire un don

Les recettes propres d’un tel événement culturel n’étant pas suffisantes pour couvrir ses dépenses, il ne peut exister qu’avec l’engagement de tous ces acteurs. Les dons privés et soutiens d’entreprises viennent directement financer l’organisation du festival.

L’association organise le festival de la Presqu’île de l’imaginaire pour :

• Proposer une parenthèse artistique extra-ordinaire dans un cadre d’exception
• Permettre l’accessibilité à la culture avec une programmation éclectique et de qualité
• Favoriser le croisement des publics avec l’entremêlement de formes et de genres artistiques différents
• Proposer un événement convivial, inscrit dans une démarche durable et respectueuse de l’environnement

L’édition 2023 :

• 4 jours de festival
• 7 spectacles (musique, théâtre, projection, lecture, etc.)
• 30 artistes et équipe
• 1500 spectateurs attendus
• 60 bénévoles
• 75 000€ HT de budget

Quel est le modèle économique du festival ?

Après quatre éditions à l’équilibre, avec une ambition en progression constante mais raisonnable, nous prévoyons cette année un budget de 75 000 € HT.

Les revenus prévisionnels de cette édition 2023 sont :

• 50% de billetterie et restauration,
• 40% de mécénat d’entreprises et de donation individuels,
• 10% de soutiens institutionnels

Et les dépenses prévisionnelles ?

• 30% de rémunération des artistes
• 30% de dépenses techniques, logistiques et d’aménagements du site
• 15% de rémunération de l’équipe d’organisation
• 10% couvrent les dépenses de communication
• 10% pour les frais administratifs (SACEM, assurances, etc.)
• 5% de location du lieu

Dans ces dépenses ne sont pas pris en compte les centaines (milliers ?) d’heures de bénévolats données au cours de l’année et pendant le festival pour organiser, accueillir, informer et servir à boire…